Jean-Christophe DOUZIECH

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Ecritures ©

Je marche!
Je remercie le ciel qui réduit peu à peu en poussière ce que je crois être. 
Je marche libre tant le monde si bien tendre que cruel,
Reflet grandiose de Sa propre beauté,
Creuse inlassablement
Le sillon de l'amour.

J'étais agité, sans force,
J'ai perdu connaissance.
Je suis arrivé dans le lieu du désert où ma joie fût qu'il n'y eût plus trace d'oasis.

Un homme apparût. Le soleil illuminait son collier de diamants et je ne pouvais voir son visage. Il m'a tendu une gourde. Je l'ai rejetée.

Pauvre fou ! Quand il n'est plus une goutte jaillit la source de l'eau ! 
Toi!  Oh moi !
Je crois percer le secret de l'amour sans goûter à l'absence!

J 'étais fatigué, et tu as a pris ma main.

Je me souviens d'un courant frais,
Je faisais tant partie du monde que je n'existais pas.

Je marche!
Je marche libre dans le vaisseau du corps en route vers la joie!

Oh Roi ! Je suis tant au-delà de ce que je suis que dans Ton royaume il n'est plus trace de mots.

                                                                                                             

 

 

 

 

 

L'observation intérieure

Est le don de la vie

 

Ecritures ©

 

Oh ! Amour ! Pourquoi se refuser tant à Toi ?
L’instant du ciel est là,
Ouvre les yeux et vois ! Vois tout ce qu’il contient.
Pauvre fou ! Serrer la main du ciel est bien plus facile
Qu’imaginer sortir de l’infini.
Si tu voyais ce qu’il y a quand tu ouvres les yeux,
Tu verrais le calme au cœur des tempêtes,
Tu sentirais la bise d’été
Sur ton front rire de la tornade.
Tu pourrais les fermer alors, ton propre cœur t’engloutirais,
Il ne resterait rien de toi sauf un secret du bonheur !
Il ne faut rien mêler à Cela pour le préserver
Sinon tu retourneras au passé et ton sort sera celui du monde.
Si tu vois qu’il n’y a que Lui tu pourras voir les autres à travers
Lui,
Tu les verras beaux comme des cieux
Dont tu ne pourrais imaginer la profondeur.
Préserve donc Son regard
Et tu verras le monde tel qu’il est,
Tu le verras comme il se doit et c’est ton droit !
Vois la douceur du doigt d’un pied jaillir jusqu’aux cheveux
Et joue à te perdre de boucles en boucles.
Sens le corps, cette immensité, cette unité de ton cœur qui bat !
Garde ce secret !

 

 

 

Partout où je plonge

Le regard

Je rencontre 

La Vie

 

 

 

                         SI JE ME FAIS PETIT

Je ferme les yeux

Pour mieux voir

Je ferme les yeux

Pour mieux entendre

Si je me fais petit

Je verrai d'où je viens

Si je me fais petit

Je serai qui je suis

Au fond de la nuit

Si près, si loin

Je tire du puits

Une coupe de vin

Si je me fais petit

Je verrai d'où je viens

Si je me fais petit

Je serai qui je suis

Je tombe peu à peu

Pour Te voir

J'abandonne le bleu,

Le blanc et le noir

Car si je n'ai plus rien

Je verrai d'où je viens 

Si je me fais petit

Je serai qui  je suis

Prendre son pouls,

S'approcher de son coeur,

De sa dynamique intime,

Du tendre point 

D'où jaillit la Vie

 

 

 

Cherche en toi le parfum

Qui te fera t'évanouir!

 

 

Je marche libre dans le vaisseau du corps

en route vers la joie

 

Sens le corps, cette immensité,

Cette unité de ton cœur qui bat !

 

 

 

 

                                                                                              RESSOURCES

 

                                          Le livre de Jean-Louis Brinette en Pdfhttp://etiomedecine.fr 

 

 

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